Le lâcher

Les tireurs d'Alençon m'ont ré affirmés ce que tous les tireurs d'expérience m'ont déjà expliqué à propos de la visée. D'abord des organes de visée toujours nets. Ensuite, apporter un soin particulier au lâcher du coup. Enfin, ce dernier point qui m'apparaitra évident dans son importance dans quelques temps (années ?), à savoir rester en position après avoir fait feu : le canon pointera à l'endroit de l'impact.

Pour la netteté des organes de visée, je trouve cela difficile à appliquer même si je m'y emploie : mais j'ai du mal à ne pas faire d'allers retours entre le couple hausse-guidon et la cible. Peut être un symptôme d'impatience du résultat, comme dirait Vincent. Sinon, sur ses conseils, je vais passer le guidon au marquer noir de manière à bénéficier d'un contraste optimal sur le blanc de la cible.

Pour le lâcher du coup, j'ai entrepris d'améliorer le mécanisme. Le métal de la tête de la queue de détente a tendance à s'émousser, ni plus ni moins. Du coup, régulièrement, je le reprends à la pierre à affûter. Mais cette fois, je suis aller plus loin en polissant les surfaces de contacts (queue de détente et chien, et aussi les surfaces latérales des pièces en mouvement ; pour réduire les frottements acier contre acier). D'autre part, j'ai repris la tête de queue de détente de manière à ce que les arêtes soient nettes et la section soit réellement rectangulaire.

J'ai gagné en souplesse, la course est moins rugueuse et le départ est plus net. Mais, je le trouve toujours trop dur.
 
Rester en position après le tir, je trouve cela compliqué. L'arme monte largement vers le haut et verticalement, ce qui est bon signe. Mais pour l'instant, cela ne me vient pas naturellement.

Allez, il faut que je travaille ce point...


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